Dans le smartphone de Noé Saillard

Du 25 au 29 juin, le chef Noé Saillard, cofondateur du restaurant Murmures avec sa campagne et directrice de salle, Alexandra Valette, sera de la 9e édition du Lyon Street Food Festival.
Par Audrey Grosclaude
Actu
Du 25 au 29 juin, toute l’équipe de Murmures, composée de Noé, Alexandra, Rémi et Jade, participera à la 9e édition du Lyon Street Food Festival, organisé aux Grandes Locos. « Faire des
événements régulièrement permet de sortir du restaurant. C’est un défi logistique et technique, mais c’est aussi l’occasion de travailler autrement, de ne pas tomber dans la routine. »
Repère
D’origine chilienne, Noé Saillard est arrivé en France à l’âge de cinq ans. Passionné par les vaccins, il
imagine un temps suivre un cursus en biochimie et biologie avant de se tourner vers la cuisine. CAP en poche, il multiplie les expériences à Lyon, au Liban, à Montréal, à Londres, en Australie… L’amour le conduit finalement à poser ses couteaux à Lyon où il ouvre le restaurant Murmures, en novembre 2024. Une adresse bistronomique où l’on mange « de saison, local et populaire (…) L’idée c’est de travailler des cuissons, des sauces et des assaisonnements qui font voyager autour de produits simples, qui restent accessibles ».
Musique
« J’écoute le plus souvent de la musique lorsque je suis seul au restaurant, le matin. Je mets plutôt des trucs cool, doux, qui m’accompagnent sans m’envahir, avec lesquels je peux réfléchir. »
Vidéo la plus likée
« C’est une vidéo tournée et postée par l’influenceur Cyril Montégu (@cyril_mntg) qui détaille son déjeuner chez nous : dés de tapioca au parmesan et yuzu, champignons au miso et noisettes en entrée, faux-filet de bœuf avec pommes de terre confites et sauce aux herbes. »
Fond d'écran
« Une photo de mon chien.»
Application préférée
« Cela fait cinq ou six ans que je réfléchis à la création d’une application mais, comme je suis une bille en informatique, je ne peux pas le faire tout seul. J’ai l’idée, mais il va me falloir six mois à fond et des développeurs. On verra quand je pourrai décrocher un peu du restaurant. »